
J’ai conçu cette image autour d’un seul mot : ALONE.
J’ai voulu traduire visuellement la notion de solitude, non pas comme quelque chose de triste ou d’angoissant, mais comme un moment de confrontation intime avec l’espace et soi-même.
J’ai voulu traduire visuellement la notion de solitude, non pas comme quelque chose de triste ou d’angoissant, mais comme un moment de confrontation intime avec l’espace et soi-même.
La photo que j’ai choisie montre un personnage minuscule, seul sur une pente minérale et presque désertique. J’ai volontairement travaillé la composition pour accentuer l’échelle : l’humain paraît minuscule face à l’immensité du décor. Cette disproportion symbolise la vulnérabilité, mais aussi la liberté qu’on peut trouver dans l’isolement.
Pour la typographie que j'ai créé, j’ai voulu un contraste entre modernité et élégance : les empattements et les ligatures stylisées du mot ALONE apportent une dimension presque poétique. La courbe du « N » qui se déploie vers le « O » évoque visuellement un lien ténu, comme une tentative de connexion malgré la distance.
Le montage photo intègre le personnage de manière à préserver la sobriété de la scène tout en renforçant le message, c’est un voyageur ou un explorateur, figure universelle de la solitude choisie.
Avec cette création, j’ai voulu proposer une vision nuancée de la solitude : une expérience à la fois mélancolique et belle, où l’on peut se sentir petit mais libre dans un monde immense.